10 raisons de ne pas faire d’enfants…
L’amour c’est aussi savoir s’aimer soi ! S’octroyer du temps, être indépendant, prendre soin de soi. Et puisqu’il faut toujours se justifier, en réponse aux traditionnels « Tu ne sais pas ce que tu perds », « Un jour tu le regretteras », « Tu passes à coté de quelque chose », c’est parti pour 10 bonnes raisons (parmi tant d’autres) pour ne pas avoir d’enfants et en être contents !
1. Déjà, on n’est pas dingues…
s, pendant deux ans (sans qu’on ai tué personne pour autant), où les gosses pratiquent le harcèlement à l’école pour se mettre à nu sur Tik Tok à l’âge à peine de 11 ans, pour aller sécher les cours dans la rue sous prétexte d’une manif de plus pour le climat, vous voudriez qu’on fasse des enfants ? Autant les noyer tout de suite à l’arrivée, non ?
2. Un enfant, c’est sale…
Ça chie, ça fait pipi partout, c’est porteur de microbes (et ça à peur de se faire vacciner), ça déplace toute la déco pour la mettre en bouche, la laisse plein de bave, tout ça pour la casser ensuite ou la jeter dans la litière du chat. Des études très sérieuses, reprises sur Facebook, révèlent qu’un enfant est l’animal le plus porteur de maladies au monde. En gros, ça ou créer une nouvelle variante du Covid au quotidien, ça revient un peu à la même chose quoi…
3. Bonjour la ruine…
Rien de nouveau dans ce point, c’est plutôt de notoriété publique même… Un enfant coûte excessivement cher (et on ne vous a pas encore parlé de l’argent que ça volera plus tard dans votre portefeuille). Pensez au berceau, à la gigoteuse, à la table à langer, au Babyphone, à la veilleuse, aux pyjamas, à la poussette, au siège auto, au chauffe-biberon… Le tout dans des tons dégueu, que votre belle-mère aura choisi sans votre avis. Ou encore aux couches immondes, remplies de caca, qui vont s’enchaîner pour polluer un peu plus notre belle planète !
4. La grossesse, c’est loin d’être une partie de plaisir…
Madame n’est pas simple pendant la « mauvaise période » ? Chaque petit regard se transforme en crise de jalousie, déclenchant une mutation lui faisant pousser trois nouvelles rangées de dents pointées et acérées comme des lames de rasoirs. Ses yeux doubleront de volume et des griffes encore plus pointues que les dents fraichement apparues lui pousseront au bout des doigts. C’est un peu ce qui vous attend donc au quotidien pour les (au minimum) neuf mois à venir. Sans compter la faim sans fin qui la poussera à bouffer le frigo pendant la nuit (le meuble, pas son contenu, ce serait trop facile). Madame est hyper-sensible ? Faites gaffe à coup sûr, y a des chance que le gosse qui en sortira soit hyperactif…

5. Beaucoup trop logistique…
Quand je pense à ma copine Nancy, qui se lève à quatre heure du matin, tous les jours, alors qu’elle est enceinte de 18 mois, Majesté (oui, oui c’est bien son prénom) menaçant de pointer le bout de son nez entre les deux bus (en retard) qu’elle doit prendre pour aller conduire Théophile (oui, c’est aussi son nom) à l’école, lançant Clotilde (ça devient laçant à la fin…) au passage à la crèche, pour ensuite faire demi-tour et retourner à l’école rechercher Théophile (avec un prénom pareil en même temps…) qui a décrété qu’il était maintenant devenu non-binaire… Le conduire chez le psy (bah ouais…), pour aller ensuite faire les courses, malgré deux trains de retard (encore), les coups de fils intempestifs de sa belle-mère (pétasse…), les factures qui s’accumulent (bande de fdp !), la voiture en panne qu’il faut aller chercher au garage… STOOOOOOP !!! Je crois que vous avez compris…
6. Fini les grasses matinées…
Vous vous souvenez du dimanche matin, où il était bon de traîner au lit jusque 10 ou 11h du matin. Du plaisir que de se lever, sans stress ? De se faire couler un café pendant qu’une douce mélodie berce l’instant sur fond d’une maison ou d’un appartement clean, propre et zen ? Et bien tout ça, dites-vous bien que c’est fini !!! 6h du matin, Théophile (oui, encore lui, avec un prénom pareil, ça aurait été dommage de l’oublier !) vous aura déjà réveillé trois fois dans la nuit et finira d’achever votre rêve.
7. … Et la vie sociale !
Bah ouais, dans le même ordre d’idée, vous pensez vraiment que Théophile va être accepté dans les carrés VIP ? Que vos voisins de table vont accepter que vous mangiez là, tranquillement, pendant que Théophile (…) est entrain d’hurler à la mort, avant de ne vomir devant tout le monde, sous prétexte d’un petit caprice ou l’autre ? Fini les copines qui auront déserté, désœuvrées de devoir vous mentir sur le fait que votre rejeton sois « si trognooooon » alors qu’en fait il a juste une grosse tête de cul ! Oubliez votre vie sociale, elle n’existera déjà plus à l’instant où le test de grossesse affiche positif !
8. … La liberté aussi !!!
Vous et Monsieur… Ou Madame… Ou ce truc non-binaire, ascendant éponge synthétique, dont vous vous étiez encombré alors qu’il/elle/eux avaii(en)t encore une sexualité bien définie, ne vous entendez plus ? Vous pensez vraiment pourvoir à nouveau l’abandonner sur une air de repos d’autoroute un beau soir d’automne, comme le/la/les précédent(e)s ? Là encore une fois, la réponse est simple : NON ! Une fois q’une extension de vous même a été crée, elle est le fruit de deux deux… Êtres. Il faudra donc vous armer de patience pour supporter « la chose », la première (mais la deuxième aussi) pour les 18 prochaines années.
9. Du bruit, du bruit et encore du bruit…
Ça court… Ça crie… Ça fait tomber le base et ça le casse… Ça crie… Ça tire la queue du chat… Ça pleure… Ça a faim… Ça crie… Ça a soif… Ça crie… Ça n’a pas envie de se laver… Ça crie… Ça lit cet article… Ça hurle… Ça se coince les doigts dans la porte… Ça pleure… Ça jette votre dernier iPhone dans la cuvette des WC… Vous criez… En gros, si après une longue journée de travail vous ne rêvez que de calme, de pouvoir vous poser devant une série dans le canapé, un bon chocolat chaud à la main, autant vous avertir tout de suite, on n’a rarement trouvé plus bruyant. Les enfants, ça crie, ça pleure, ça se roule par terre, ça court dans tous les sens et forcément ça se fait mal… Vous avez vraiment besoin de ça ?
10* On n’oublie pas qu’on a nous-même été ados…
Et là… cet argument là, je sais qu’il en finira avec cette folie passagère qui vous aura traversé l’esprit durant l’espace de quelques secondes ! Le titre se suffira donc à lui-même.
Et comme on sait les mères ultra-sensibles une fois qu’elles ont vêlé, on n’oubliera pas de terminer cet article rempli de sarcasme et d’humour bien noir, on n’oubliera pas non plus, histoire de préserver l’équilibre psychologique de ma mailbox, qu’un enfant c’est troooop mignon, que c’est l’avenir et que c’est trop chou et que c’est… Enfin, tout es ces choses qu’on à l’habitude de dire en les pensant, bien évidement. Bon, ceci étant, à défaut de les brûler, si vous pouviez juste les garder loin de moi, ça serait cool, merci ! <3
Scylla…
